Si vive come si sogna: soli.
Il Sacrificio di Isacco, Ludovico Cigoli, 1607.
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Le tragique du suicidaire, en ce moment précis, n'est pas qu'il ne rencontre pas ce qu'il cherche, c'est qu'il ne cherche plus rien. Dans son infantile naïveté, il a pensé que la parole de l'autre s'était trompé de réponse. En fait il n'avait pas su encore discerner qu'il s'était lui-même trompé de parole, ou plutôt, de destinataire, pour n'avoir pas su adapter à chacun le code qui lui convenait. Et il a consacré sa faute dans le sacrifice.
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