14 avril 2008


Ophiuchus (Οφιούχος)



α Oph : رأس الحية ( The Head of the Serpent-charmer).


η Oph :سابق


Ophiuchus was formerly referred to as Serpentarius (/ˌsɚpənˈtɛəriəs/), the former originating in Greek and the latter in Latin, both meaning "serpent-holder". It is a large constellation located around the celestial equator between Aquila, Serpens and Hercules, northwest of the center of the Milky Way. The southern part lies between Scorpius to the west and Sagittarius to the east. Of the 13 zodiacal constellations (constellations that contain the Sun during the course of the year), Ophiuchus is the only one not counted as an astrological sign.



It is best visible in the northern summer and located opposite Orion in the sky. Ophiuchus is depicted as a man grasping a serpent; the interposition of his body divides the snake constellation Serpens into two parts, Serpens Caput and Serpens Cauda, which are nonetheless counted as one constellation.


Ἀσκληπιός :Asclépios, fils d'Apollon. Il est le fils d'Apollon et de Coronis. Alors qu'elle est enceinte du dieu, elle trompe ce dernier avec le mortel Ischys. Apollon, maître de la divination, perçoit la vérité, qui lui est également rapportée par un corbeau. Il envoie alors sa sœur, Artémis, pourfendre l'infidèle de ses flèches. Pris de pitié, Apollon sort l'enfant du corps de sa mère qui se consume sur le bûcher. Il porte le jeune Asclépios chez le centaure Chiron, qui l'élève et lui enseigne l'art de la guérison.


Il est marié à Épione, de qui il a six filles (Hygie, Panacée, Méditrine, Acéso, Iaso et Églé) et trois fils (Machaon, Podalire et Télesphore), qui possèdent comme lui l'art de la médecine. Il règne sur la ville thessalienne de Trikka.


Après que Persée ait tuée la Gorgone Méduse et finalement donné sa tête à Athéna, cette dernière donne à Asclépios deux fioles du sang de la Gorgone. La première (issue de la veine droite) a le pouvoir de guérir de toutes les blessures et de ressusciter les morts, tandis que la seconde (issue de la veine gauche) est un violent poison.


En étudiant ces fioles de sang, certaines gouttes s'en déversent sur le sol de sa demeure, et chaque goutte donne naissance à un serpent. On en retiendra le symbole de la médecine, le caducée, représentant un de ces serpents s'enroulant autour du bâton d'Asclepios.


Son art atteint alors un tel niveau qu'il tente de ressusciter les morts : selon l'Ériphyle (pièce perdue de Stésichore), il s'agit de Lycurgue et Capanée, deux des Sept contre Thèbes — ou encore d'Hippolyte, fils de Thésée, chez le pseudo-Ératosthène. Pour le punir de son hybris, Zeus le foudroie. Furieux, Apollon massacre les Cyclopes. Se rendant compte par la suite du bien qu'Asclépios avait apporté aux hommes, Zeus fait de lui un dieu et le place parmi les étoiles sous la forme de la constellation du Serpentaire.


Dès l'âge classique, Asclépios est vénéré comme un dieu. Ses deux principaux centres de culte sont Trikka et Épidaure en Argolide, où son culte éclipse celui d'Apollon. Dans son sanctuaire d'Épidaure, il pratique une médecine par les songes : l'incubation. Les patients, dûment purifiés, doivent passer la nuit dans le temple ; pendant leur sommeil, le dieu leur dicte l'ordonnance nécessaire ou guérit directement l'organe malade en le touchant. Les guérisons miraculeuses (ἰάματα / iámata) donnent lieu à des ex-votos décrits par Pausanias.


Asclépios est également vénéré à Delphes dès le Ve siècle av. J.-C. et à Athènes après la « peste » de 430-429 av. J.-C. : une statue de culte est importée d'Épidaure dès la paix de Nicias, qui met fin à la guerre du Péloponnèse. Sophocle, déjà prêtre d'un héros guérisseur, Amynos, joue un rôle important dans l'implantation du fils d'Apollon à Athènes : le tragique est même réputé avoir accueilli le dieu dans sa demeure. Asclépios est ensuite initié aux Mystères d'Éleusis, et les Asclépeia (ou Épidauria) sont positionnées à proximité de la célébration des mystères dans le calendrier attique.


Il correspond à l'Esculape romain et à l'Imhotep égyptien. Son attribut principal est un bâton autour duquel s'enroule un serpent : souvent confondu avec le caducée d'Hermès, est aujourd'hui le symbole de la médecine.





Like all other calendars, the Babylonian calendar had twelve lunar months (about 354 days) and a problem to make these fit the solar year (about 365 days). In the western calendar, this is solved by cutting the tie between the lunar phase and the calendar month; the Babylonians found a different solution by adding leap months.


Originally, the king decided which month had to be added ("intercalated"), and when. This was not very satisfying, and the Babylonian astronomers, often called Chaldaeans, gradually developed rules to create the nearly perfect calendar. The key was the discovery, in the mid-eighth century, that 235 lunar months are almost identical to 19 solar years. (The difference is only two hours.) The Chaldaeans concluded that seven out of nineteen years ought to be leap years with an extra month.


From now on, intercalary months were still announced by the king, but he was advised by an astronomer. After Babylon had been captured by the Persian king Cyrus the Great in 539, priestly officials took over. The Chaldaeans now started to look for a standard procedure for the intercalation of months. It was introduced in 503 BCE by Darius I the Great (if not earlier).


As this table shows, there are six years when a second month Addaru is added, and one year with an extra Ulûlu. The result is that the first day of the month Nisannu (New year's day) was never far from the vernal equinox (the first day of spring), so that the civil calendar and the seasons were never out of step. This system is often called the cycle of Meton, to commemorate the Greek astronomer who tried to introduce it in the West. It is still used in the Jewish calendar.


At an unknown moment in the fourth century, an even better procedure for the intercalation of months was invented. This time, a cycle of 76 years was used, one day was left out, and the limits of variability in the start of the year were further narrowed. The new system was already known in 331, because in that year the Macedonian conqueror Alexander the Great captured Babylon and ordered the Astronomical diaries to be translated into Greek. The new knowledge was immediately applied in Greece: the astronomer Callippus of Cyzicus, a pupil of the philosopher Aristotle of Stagira, recalculated the length of the lunar month and proposed a new calendar, in which he applied the longer cycle. His new era, which was used by all later Greek astronomers, started at 28 June 330, eight months after the capture of Babylon.


One final remark: the Babylonians did not develop a calendar era until the last years of the fourth century. It was only then that people started to date with formulae like "in the year 162 of the Seleucid era". Until then, regnal years were used, and it was very important to use the name of the correct king. In the Diadochi Chronicle, we find the charming piece of information that the Macedonian general Seleucus I Nicator, after he had expelled his rival Antigonus Monophthalmus, "declared that Year 7 of Antigonus-the-general had to be counted as Year 6 of Alexander, son of Alexander, and Seleucus-the-general."

12 avril 2008

La Terre est toujours immobile au centre du système solaire
mais les planètes tournent autour du Soleil




Mouvement apparent des planètes

Pendant la majeure partie de son histoire, de l'antiquité jusqu'au XIXe siècle, les astronomes ont été limités à l'étude du mouvement apparent des planètes dans le ciel. Avant d'aborder l'histoire de l'astronomie, il n'est donc pas inutile de brièvement rappeler quelques notions sur les mouvements qui animent les corps du système solaire, afin de mieux comprendre le casse-tête auquel les astronomes durent faire face.

Notre système est dominé de tous les points de vue par une étoile, le Soleil, qui peut être considérée pour simplifier comme son centre. Cette étoile est accompagnée d'un cortège de huit planètes : Mercure, Vénus, la Terre, Mars, Jupiter, Saturne, Uranus et Neptune. Aux époques que nous allons considérer ici, seules cinq d'entre elles étaient connues : Mercure, Vénus, Mars, Jupiter et Saturne - la Terre n'étant pas reconnue comme telle.

Révolution et rotation

Chaque planète tourne autour du Soleil, dans un mouvement appelé la révolution. Dans le cas de la Terre, c'est la période de ce mouvement, c'est-à-dire la durée d'un tour complet, qui définit une année. A la révolution autour du Soleil s'ajoute la rotation de chaque planète sur elle-même. La période de cette rotation définit la longueur d'un jour. Pour nous, le principal mouvement apparent des astres dans le ciel est dû à la rotation de la Terre sur elle-même. C'est cette rotation, qui s'effectue en 24 heures, qui nous donne l'impression que le Soleil tourne autour de la Terre pendant la journée et que la voûte étoilée est en rotation au cours de la nuit.
Mouvement apparent

Supposons maintenant que l'on gèle le mouvement de rotation de la Terre. C'est alors la révolution des planètes autour du Soleil qui provoque des déplacements apparents. En effet, si les planètes se déplacent par rapport au Soleil, leur position dans notre ciel va légèrement changer au cours du temps, une dérive observable grâce au fond fixe constitué par les étoiles. Ainsi, par exemple, la position apparente de la planète Mars par rapport au fond étoilé change petit à petit et la planète semble légèrement dériver vers l'est. Remarquons que les étoiles apparaissent fixes car elles se trouvent à des distances énormes et leurs éventuels mouvements sont indétectables. Le cas de Mercure et de Vénus est encore compliqué par le fait que les orbites de ces planètes sont à l'intérieur de celle de la Terre. Les deux astres ne peuvent donc pas se trouver dans n'importe quelle direction du ciel, mais restent confinées au voisinage du Soleil et semblent osciller lentement autour de lui.
Mouvement rétrograde

La situation générale est rendue encore complexe par le fait que la Terre tourne également autour du Soleil. Ceci donne naissance à un phénomène appelé le mouvement rétrograde des planètes. Pour le comprendre, faites l'expérience suivante. Levez un doigt devant vous et bouger le lentement vers la gauche. Déplacez alors rapidement votre tête dans le même sens. Par un effet de projection, votre doigt semble se déplacer vers la droite.






Le système géo-héliocentrique de Tycho Brahé


C'est le même phénomène qui explique le mouvement rétrograde de Mars par exemple. La plupart du temps, cette planète se déplace vers l'est dans le ciel du fait de son mouvement de révolution. Cependant, lorsque la Terre passe entre elle et le Soleil. Le déplacement de notre planète, plus rapide, crée un effet de projection qui nous donne l'impression que la planète rouge se déplace dans l'autre sens, vers l'ouest. Ceci continue jusqu'à ce que la Terre s'éloigne et que Mars reprenne son cheminement apparent normal. Comme nous le verrons plus tard, le mouvement rétrograde des planètes a été le plus grand casse-tête des premiers astronomes.

08 avril 2008


Coordonnées polaires , coordonnées paramétriques


Dans un repère orthonormé (Ox,Oy) direct, orienté par le sens trigonométrique usuel (sens inverse des aiguilles d'une horloge ou d'une montre... à aiguilles), un point M(x,y) (coordonnées cartésiennes) peut être repéré par ses coordonnées polaires : le pôle est l'origine O, Ox est l'axe polaire. Soit t = ^(Ox,OM) l'angle de rotation amenant l'axe (O,i) sur l'axe (O,i') supportant M, en tournant dans le sens direct (sens trigonométrique).
Un point M est caractérisé par l'angle, dit angle polaire de M, et par la mesure algébrique r de OM sur (O,i'). Le nombre r peut donc être positif ou négatif (voire nul si M est O); c'est le rayon-vecteur de M.
Il est clair que tout couple (t,r) définit un point et un seul du plan. Cependant, tout point M possède une infinité de repérage polaire : t est défini à 2p près et, de plus, on remarquera que les notations M(r,t) et M(-r,t + p) désignent le même point.
Sur le schéma ci-dessus, si on pose N(t',r') alors on peut aussi écrire N(t,-r') ou encore, puisque N, O et M sont alignés : N(t + p, r') ou N(t - p, r').


Le fameux sens trigonométrique trouve son origine en mécanique céleste : 600 ans av. J.-C., Thalès croyait déjà à la rotation de la Terre autour du Soleil (dans le plan qui fut appelé l'écliptique) et à la rotation de la Terre sur elle-même. Ptolémée, 700 ans plus tard, affirmait encore, à tort, que le Soleil tournait autour de la Terre. Mais le monde héliocentrique était d'accord pour constater que cette rotation se faisait d'Ouest en Est pour la rotation de la Terre sur elle-même et dans ce "même" sens quant à la rotation de la Terre autour du soleil ou du soleil autour de la Terre, pour un bonhomme embroché comme indiqué sur le dessin et regardant le plan de l'écliptique. L'interprétation géocentrique conduit, au contraire, à une rotation dans le sens des aiguilles d'une horloge (montre à aiguilles...).

Vu sous l'angle héliocentrique, le sens astronomique, dit direct (dans le bon sens) et s'opposant à rétrograde, en sens inverse (horloge), a alors été choisi pour définir le sens trigonométrique de rotation dans un repère orthonormé (Ox,Oy). Implicitement utilisé par Ptolémée, Regiomontanus, Kepler, il sera formalisé par les Bernoulli, Euler, Gauss et deviendra universel.
Ox orienté vers la droite (Est, horizon)
Oy orienté vers le "haut" (zénith, Nord)
La rotation d'angle minimal qui amène l'axe des abscisses sur celui des ordonnées est de 90° : par convention cet angle sera positif : ^(Ox,Oy) = + p/2.



Équation polaire d'une courbe :


Une courbe est dite définie en coordonnées polaires si tout point M(r,t) de cette courbe vérifie une équation (ou plusieurs simultanées si nécessaire : définition par morceaux) de la forme r = f(t) où f est une fonction de t (variant éventuellement dans un ensemble J précisé). Le problème est parfois (souvent) de rechercher l'ensemble J minimal permettant l'obtention de la courbe en entier. Si le changement de t en -t laisse r invariant, alors la courbe admet l'axe Ox comme axe de symétrie; si r se change en son opposé, alors la courbe admet l'axe Oy comme axe de symétrie. Si r(a - t) = r(t), alors il y a symétrie par rapport à l'axe d'angle polaire a/2.
L'équation polaire du cercle de centre (a,0) de rayon a (donc passant par O) est donnée par : r = 2a.cos t
L'équation polaire de la droite d'équation x = a en repère orthonormé est : r = a/cos t

Le trèfle, dit aussi quadrifolium a pour équation polaire r = 3cos 2t (d'une façon générale : r = a.cos 2t). C'est une rosace de Grandi.
Le changement de t en -t laisse r invariant : symétrie par rapport à Ox. Mais on constate aussi une symétrie par rapport à Oy. En effet r(p - t) = r(t) puisque la fonction cosinus est paire et de période 2p : il y a donc symétrie par rapport à Oy correspondant à l'axe d'angle polaire p/2.



Équation paramétrique d'une courbe :


En projetant un point M(x,y) sur les axes, la trigonométrie élémentaire nous enseigne que x = r.cos t et y = r.sin t. Comme r dépend de t, une courbe peut être définie par la donnée de
x = f(t) et de y = g(t)
on parle d'équation paramétrique ou de représentation paramétrique d'une courbe ou encore de courbe paramétrée. Le paramètre étant bien entendu le nombre réel t.
Par exemple, l'ellipse de demi grand axe a et de demi petit axe b peut être défini par l'équation paramétrique :
x = a.cos t , y = b.sin t , t décrivant [0,2p]

05 avril 2008






Taurus (Ταύρος)


Feminine and negative sign. Earth and fixed sign.

From April 20 to May 20. Sidereal from May 15 and June 16.

Venus.

Pleiades : Πλειάδες ( Known since antiquity to cultures all around the world) Seven sisters along their parents ( Ἄτλας and Πλειόνη)

Alpha tauri : « Aldebaran (Fallen Angel)» الدبران

Beta Tauri : النطح

Gamma tauri : Αμβροσιη

Delta Tauri : Ευδωρη

Apis “ bull god”

Sarapis : Σάραπις ( Hellenistic-Egyptian god)

Yades: Uάδες, the Hyades were sisters of Hyas.

Taurus ( Chinese) 金牛.

Bi ( Chinese zodiac) : 畢宿.

Associated with Zeus ( Ζεύς), Aphrodite( Ἀφροδίτη) Roman : Venus, Ishtar, Dionysus.

Located between Aries ,Gemini , Perseus, Auriga, Orion, Eridanus and Cetus.

Apis : Roughly around 4000 B.C., sun's position along the Zodiac on the first day of spring, or Vernal Equinox, was in Taurus constellation.

02 avril 2008






Virgo


Zodiac date :August 22 - September 23
True Date : September 16 - October 30

Virgo is earthy and represents the sixth sign of the zodiac.feminine, and introvert negative sign.Also amutable sign. Is the second largest constellation after Hydra. She dropped a sheaf of grain, which scattered all along the path she took. This path is now known to the Chinese as the Yellow Road. Virgo is the nocturnal domicile of Mercury (Hermes) and the second of the earth elements. The only constellation containing all the bayer stars ( greek alphabet from alpha to omega). Symbol represents arms of maiden holding a sheaf of wheat.

Virgo ( Absin , Assyrian)

Astraea ( daughter of Zeus and Themis)


Persephone Περσεφόνη

Isis, Au Set She is the wife and sister of Osiris and the mother of Horus.

The Hindus saw Virgo as Kauni


Mercurius - Nebo ( Assyrian, Home of) Meaning sing :mind (crescent) poised over divine spirit (circle) and matter (cross). Symbol represents winged helmet and caduceus. Linking to बुध Budha. Chinese Element: Water. Chinese : 水.

Yin 癸 Yang 壬


Alpha Virginis : Spica.

Gamma Virginis : Porrima.

Demeter Δημήτηρ (Proarktouria, name of a ceremony held in her honour just before the rising of the star actarus.)

Ishtar ( Venus) Syrian or "Inanna".

β Beta Virginis Zavijava : زاوية العوا

γ Gamma Virginis: Porrima or Arich.

δ Virginis Delta Virginis, Auva : العوّاء

ζ Zeta Virginis, Heze known as Jiao Xiu on Chinese constellation : 角宿二


η Eta Virginis, Zaniah : الزاوية

ι Virginis, Syrma.
μ Virginis, Rigel : رجل الجبّار

ε Epsilon Virginis : Vindemiatrix


Kang : Cou 亢宿 Dragon d'azur de l'Est 東方青龍 .


( 處女座)


Bordering constellations:
Boötes, Coma, Berenices, Leo, Crater, Corvus, Hydra, Libra, Serpens, Caput.

Thoth (August 29 - September 27 , Egyptian Zodiac) ( Isis son)


Virgo , the Maiden, is associated with the arrival of spring and bringer of the growing season, usually is shown carrying two sheaves of wheat, one of which is marked by the bright star Spica. Often seen as the Scales of Justice. Demeter Δημήτηρ (Greek), Ceres ( Roman). Or Proserpina (Persephone) Demeter's daugther who was abducted by Hades ( Pluto). As Erigone, Icarius daughter, goddess of fortune.

Atargatis, Syrian goddess. ( Ishtar).

Minerva ( Roman) Athena Ἀθηνᾶ (Greek).

Diana ( Greek Artemis, Ἄρτεμις).

Cybele ( Roman).

Khosha, or "the Ear of Wheat ( Persians).

Bethulah ( Hebrews)